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Les films, un bon placement pour vos produits

Plus que vanter vos mérites comme la publicité, le placement produit met en scène la marque et ses produits dans une histoire. Une opération rentable et peu couteuse, sous réserve d’être en adéquation avec l’univers de la fiction, et de s’inscrire dans un plan de communication plus large.

Envie de vous offrir une belle vitrine télévisuelle? Pourquoi ne pas délaisser le traditionnel spot publicitaire et opter pour le placement produit. Avec lui vous vous affichez auprès du grand public dans les films, séries télévisées ou les clips musicaux. Un personnage rentre dans une de vos boutiques, s’arrête en voiture devant votre affiche publicitaire, se promène avec un sac affichant votre marque, utilise un de vos produits, vous cite… les solutions sont pléthore.

« Dans tous les cas, la technique et l’effet sur le spectateur sont les mêmes. L’essentiel est que la mise en avant soit la plus naturelle possible », indique Jean-Patrick Flande, de l’agence Film media, spécialisée dans le placement produit. L’idée: s’intégrer dans une histoire qui met en scène la marque et son produit dans des conditions réelles. « C’est un message assez pédagogique car le spectateur se projette plus facilement, il découvre l’utilité du produit dans son contexte », souligne Jean-Dominique Bourgeois de l’agence Place to be media.

Gros résultats pour petit prix

En y ajoutant une identification forte à l’acteur ou au personnage, le placement produit entrainerait, chez les spectateurs, un gain de notoriété, plus d’intention de se renseigner, et plus de recommandations à leurs proches. Il serait ainsi quatre fois plus rentable et générerait deux fois plus d’intention d’achat qu’un spot publicitaire selon les chiffres du cabinet d’études Public impact.

Le tout pour un budget bien moins élevé. Comptez 10 000 à 80 000 euros en moyenne pour apparaitre dans un film français qui touchera jusqu’à 20 millions de spectateurs lors de sa sortie en salle puis de ses multiples rediffusions. Une série télévisée vous coutera, elle, entre 8 000 et 10 000 euros. « Ces montants varient en fonctions de l’importance de la mise en scène du placement et du potentiel du film », précise Jean-Patrick Flande.

L’adéquation avec votre marque

Quant au clip musical, il vous faudra débourser entre 20 000 et 150 000 euros. Car ce format présente des avantages. Le premier: son extrême rapidité. Deux mois seulement entre la décision d’apparaitre dans un clip et sa diffusion, contre un an pour une série ou un film. De plus, le public est très ciblé. Vous êtes donc certains d’atteindre vos consommateurs si vous êtes en adéquation avec l’artiste et son univers. « Et c’est beaucoup plus intéressant financièrement qu’en payant des droits d’utilisation de l’image de l’artiste », affirme Jean-Dominique Bourgeois.

Prenez impérativement en compte cette concordance entre votre marque et le support, quel que soit le type de placement produit. « Par exemple, ne choisissez pas une série policière si vous fabriquez de la lingerie fine », s’amuse Jean-Patrick Flande.

Communiquez autour de votre placement produit

Mais surtout, ne vous contentez pas d’apparaitre, une seule fois, quelques secondes à l’écran. C’est en s’inscrivant dans le temps que votre opération portera ses fruits. D’abord, en multipliant les apparitions: deux, trois, quatre films ou épisodes par an amplifieront les effets de votre démarche.

Ensuite, en prolongeant votre placement produit par une communication auprès de votre réseau, de vos clients, dans vos boutiques, en interne, sur votre site web ou sur les réseaux sociaux. « Le placement produit seul est insuffisant, il faut le décliner sur tous vos points de contact, proposer un univers d’engagement auprès du film ou de la série dans lequel vous apparaissez », conseille Jacques Kluger, directeur de la diversification de Telfrance groupe, producteur de Plus belle la vie.

Jeu autour du programme, mise en situation du produit par les personnages clés de la fiction, reprise de la vidéo sur vos supports web, communication autour de la sortie ou des différentes diffusions du film ou des épisodes… Tous les moyens sont bons pour surfer sur votre passage sur les écrans et rentabiliser votre investissement.

 

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Festival du film de Sarlat : « L’épreuve d’une vie » et Guillaume Gallienne plébiscités

Le deuxième long-métrage de Nils Tavernier a reçu la Salamandre d’Or (Prix du Public), ce samedi soir, à Sarlat, tandis le Prix des Lycéens est revenu à « Les garçons et Gullaume, à table ! » de Guillaume Gallienne

Nils Tavernier, ici avec l’acteur Fabien Héraud et le producteur Philippe Boeffard (Bernard Chubilleau)

Le palmarès de la 22e édition du Festival du film de Sarlat est tombé. La Salamandre d’or, désignée par le vote du public, est revenue à « L’épreuve d’une vie », de Nils Tavernier. Le Prix des Lycéens a été décroché par « Les garçons et Guillaume , à table ! », de Guillaume Gallienne. Concernant le Prix du Jury Jeunes, c’est « Casse-Tête Chinois » de Cédric Klapisch qui a été sacré.

Du côté des récompenses individuelles, le Prix d’interprétation féminine est revenu à Karin Viard dans « Lulu, femme nue » et son pendant masculin à Guillaume Gallienne qui joue à la fois son rôle et celui de sa mère dans son œuvre autobiographique.

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Le rideau se lève sur le 21ème French Film Festival

07/11/2013 – 30 premières britanniques de films français sont au programme jusqu’au 7 décembre dans neuf villes

Le rideau se lève sur le 21ème French Film Festival

Attila Marcel de Sylvain Chomet

Démarrage aujourd’hui au Royaume-Uni de la 21ème édition du French Film Festival avec les projections de gala de Attila Marcel [+] (article) de Sylvain Chomet (au Cine Lumiere de Londres) et de Henri [+] de Yolande Moreau (au Filmhouse d’Edimbourg), en présence des deux cinéastes. Au menu de la manifestation qui se déroulera jusqu’au 7 décembre dans neuf villes (également à Glasgow, Warwick, Dundee, Inverness, Bo’ness, Arberdeen et Kirkaldy) figurent plus de 30 premières britanniques et des hommages à Maurice Pialat, Bernadette Lafont et Louis de Funès.

(L’article continue plus bas – Inf. publicitaire)
Au menu des avant-premières pointent Casse-tête chinois (Chinese Puzzle) de Cédric Klapisch, le compétiteur berlinois Camille Claudel 1915 [+] de Bruno Dumont, le compétiteur cannois Jeune et jolie [+] de François Ozon, Marius [+] et Fanny [+] de Daniel Auteuil (qui fera le déplacement), Amour et turbulences d’Alexandre Castagnetti et le documentaire Traviata et nous de Philippe Béziat.

Au programme Discovery ont été sélectionnés entre autres Tonnerre [+] de Guillaume Brac (découvert en compétition à Locarno), le compétiteur berlinois Elle s’en va [+] d’Emmanuelle Bercot, 11.6 [+] de Philippe Godeau (en compétition à Karlovy Vary – voir l’interview vidéo du réalisateur), Du vent dans mes mollets [+] de Carine Tardieu, Jeunesse [+] de Justine Malle et deux révélations de la dernière Quinzaine des réalisateurs cannoise : Apaches [+] de Thierry de Peretti et Les garçons et Guillaume, à table ! [+] de Guillaume Gallienne.

Dans la section Panorama Horizons se distinguent Une autre vie [+] d’Emmanuel Mouret, Jappeloup [+] de Christian Duguay, Paulette [+] de Jérôme Enrico, Le fils de l’autre [+] de Lorraine Levy, Aujourd’hui [+] d’Alain Gomis, L’homme qui rit [+] de Jean-Pierre Améris (en présence du réalisateur), Une Estonienne à Paris [+] d’Imar Raag, Millefeuille [+] de Nouri Bouzid et Le Capital [+] de Costa Gavras. A signaler également Comme un lion [+] de Samuel Collardey, le film d’animation Le jour des corneilles [+] de Jean-Christophe Dessaint et le documentaire La Maison de la Radio de Nicolas Philibert.

Fabien Lemercier

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Les marques investissent les écrans

« Les Seigneurs », une comédie populaire qui a tout pour attirer les annonceurs. En moyenne, on trouve cinq placements de produits dans ce type de films en France. Un chiffre très inférieur à ce qui se pratique aux États-Unis.

Le film «Les Seigneurs», d’Olivier Dahan, a eu recours à trois placements publicitaires de produits. 

Les seigneurs, le dernier film d’Olivier Dahan, est une comédie populaire, positive, incarnée par des acteurs célèbres! Trois ingrédients dont raffolent les annonceurs. Sollicité par une agence spécialisée dans le placement de marques dans les films, le PMU s’est lancé dans l’aventure.

Les héros portent ainsi des tee-shirts à son logo ou font des paris sur les courses hippiques sur son site Internet, contre un apport au financement du film. Le partenaire lance dans le même temps des campagnes de promotion, utilisant le visuel du film.

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