Revue de presse

Les films, un bon placement pour vos produits

Plus que vanter vos mérites comme la publicité, le placement produit met en scène la marque et ses produits dans une histoire. Une opération rentable et peu couteuse, sous réserve d’être en adéquation avec l’univers de la fiction, et de s’inscrire dans un plan de communication plus large.

Envie de vous offrir une belle vitrine télévisuelle? Pourquoi ne pas délaisser le traditionnel spot publicitaire et opter pour le placement produit. Avec lui vous vous affichez auprès du grand public dans les films, séries télévisées ou les clips musicaux. Un personnage rentre dans une de vos boutiques, s’arrête en voiture devant votre affiche publicitaire, se promène avec un sac affichant votre marque, utilise un de vos produits, vous cite… les solutions sont pléthore.

« Dans tous les cas, la technique et l’effet sur le spectateur sont les mêmes. L’essentiel est que la mise en avant soit la plus naturelle possible », indique Jean-Patrick Flande, de l’agence Film media, spécialisée dans le placement produit. L’idée: s’intégrer dans une histoire qui met en scène la marque et son produit dans des conditions réelles. « C’est un message assez pédagogique car le spectateur se projette plus facilement, il découvre l’utilité du produit dans son contexte », souligne Jean-Dominique Bourgeois de l’agence Place to be media.

Gros résultats pour petit prix

En y ajoutant une identification forte à l’acteur ou au personnage, le placement produit entrainerait, chez les spectateurs, un gain de notoriété, plus d’intention de se renseigner, et plus de recommandations à leurs proches. Il serait ainsi quatre fois plus rentable et générerait deux fois plus d’intention d’achat qu’un spot publicitaire selon les chiffres du cabinet d’études Public impact.

Le tout pour un budget bien moins élevé. Comptez 10 000 à 80 000 euros en moyenne pour apparaitre dans un film français qui touchera jusqu’à 20 millions de spectateurs lors de sa sortie en salle puis de ses multiples rediffusions. Une série télévisée vous coutera, elle, entre 8 000 et 10 000 euros. « Ces montants varient en fonctions de l’importance de la mise en scène du placement et du potentiel du film », précise Jean-Patrick Flande.

L’adéquation avec votre marque

Quant au clip musical, il vous faudra débourser entre 20 000 et 150 000 euros. Car ce format présente des avantages. Le premier: son extrême rapidité. Deux mois seulement entre la décision d’apparaitre dans un clip et sa diffusion, contre un an pour une série ou un film. De plus, le public est très ciblé. Vous êtes donc certains d’atteindre vos consommateurs si vous êtes en adéquation avec l’artiste et son univers. « Et c’est beaucoup plus intéressant financièrement qu’en payant des droits d’utilisation de l’image de l’artiste », affirme Jean-Dominique Bourgeois.

Prenez impérativement en compte cette concordance entre votre marque et le support, quel que soit le type de placement produit. « Par exemple, ne choisissez pas une série policière si vous fabriquez de la lingerie fine », s’amuse Jean-Patrick Flande.

Communiquez autour de votre placement produit

Mais surtout, ne vous contentez pas d’apparaitre, une seule fois, quelques secondes à l’écran. C’est en s’inscrivant dans le temps que votre opération portera ses fruits. D’abord, en multipliant les apparitions: deux, trois, quatre films ou épisodes par an amplifieront les effets de votre démarche.

Ensuite, en prolongeant votre placement produit par une communication auprès de votre réseau, de vos clients, dans vos boutiques, en interne, sur votre site web ou sur les réseaux sociaux. « Le placement produit seul est insuffisant, il faut le décliner sur tous vos points de contact, proposer un univers d’engagement auprès du film ou de la série dans lequel vous apparaissez », conseille Jacques Kluger, directeur de la diversification de Telfrance groupe, producteur de Plus belle la vie.

Jeu autour du programme, mise en situation du produit par les personnages clés de la fiction, reprise de la vidéo sur vos supports web, communication autour de la sortie ou des différentes diffusions du film ou des épisodes… Tous les moyens sont bons pour surfer sur votre passage sur les écrans et rentabiliser votre investissement.

 

Voir l’article original sur ChefdEntreprise.com > Voir toutes les dernieres news >

Les dessous de l’incroyable cash machine 007

James Bond détient le record des franchises les plus rentables d’Hollywood, grâce à un efficace partenariat avec de grandes marques telles que Heineken, Gillette ou Sony. 

007 Spectre

 

Mieux que Superman, les Transformers ou Captain America, le britannique James Bond est aujourd’hui le super héros le plus « bankable » de l’histoire du cinéma. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Depuis son arrivée sur le grand écran en 1962 (James Bond contre Dr No), le personnage de Ian Flemming a réalisé 6,3 milliards de dollars de recettes dans le monde rien qu’avec l’exploitation en salles et sans compter les nombreux droits TV! A ce jour cela représente 15 milliards en tenant compte de l’évolution du dollar depuis un demi-siècle. Aujourd’hui encore, même les plus anciens épisodes continuent de rapporter beaucoup d’argent car ils sont diffusés plus de 500 fois par an par des chaines de télévision dans le monde. Il y a eu des hauts des bas dans les quelque 26 longs métrages de la franchise exploitée par la société de production britannique Eon, dirigée par Barbara Broccoli et Charles Wilson, les deux héritiers du producteur historique Albert Broccoli décédé en 1996. Mais depuis une vingtaine d’années et l’arrivée de l’acteur irlandais Pierce Brosnan en 1995, puis celle de l’anglais Daniel Craig en 2006, le succès grandissant ne semble pas connaître de limites. Le précédent opus, Skyfall sorti en 2012, a été le premier à dépasser le milliard de dollars de recettes en salles pour (seulement) 230 millions de budget. « Pour son grand retour, le 11 novembre avec 007 Spectre, la production a donné au réalisateur Sam Mendes, les moyens de dépasser son précédent record », révèle Jean-Patrick Flandé, directeur de l’agence Film Media Consultant qui « place » des produits dans les James Bond depuis 1978.

Son crédo: les marques de luxe

C’est l’autre grand talent de 007. Il plait aux annonceurs tout autant qu’au grand public. Contrairement à d’autres aventuriers, il n’est pas un philanthrope. Son credo à lui c’est certes, le service de la Couronne britannique qui lui a octroyé le droit de tuer, mais aussi celui d’un certain art de vivre étroitement associé aux marques de luxe et, comble de chance pour un agent qui a commencé sa carrière dans les années 60, il adore les objets high-tech. Un vrai geek, parfaitement à l’aise avec les objets connectés mais intraitable sur la manière de servir un Bordeaux ou de préparer son martini dans les règles de l’art (il s’agit du cocktail à base de gin et non de la marque appartenant au groupe Martini-Baccardi).

Il lui faut toujours les meilleurs produits: alcools prestigieux (champagne Bollinger, vodka Belvédère, château Angelus…), montre de luxe (Omega), gadgets dernier cri (Sony), les plus belles voitures (Aston Martin, Land Rover, Jaguar)… « Ces produits seraient de toute façon présents dans le scénario, aussi nous nous efforçons simplement de choisir des partenaires qui offriront les meilleurs chances de succès au film, en leur demandant de participer à sa médiatisation », explique Jean-Patrick Flandé. C’est là l’excellente idée des producteurs d’Eon. Plutôt que de se faire payer grassement pour quelques secondes d’apparition de produits à l’écran, ils exigent par contrat que les marques qui ont eu la chance d’être retenues par le réalisateur s’engagent sur un volume d’investissement publicitaire, au moment de la sortie du film. Objectif de l’opération: orchestrer un raffut maximal pour la réussite du film. Aucun habitant de la planète ne doit ignorer l’arrivée du nouveau James Bond. Ainsi, le brasseur Heineken avait dépensé 80 millions d’euros de publicité en 2012 pour faire connaitre son partenariat avec 007.

500 millions de canettes Spectre

Encore plus astucieux de la part des producteurs, ils utilisent tous les supports de communication possibles, du moment qu’ils sont massifs. « Nous avons édité 500 millions de bouteilles aux couleurs de 007 Spectre« , indique-t-on chez Heineken. Un effet planétaire qui ne coûte rien à Eon. « Ces marques profitent de l’univers et de la notoriété de James Bond mais le film lui-même se fait connaître des clients de ces marques », souligne Jean-Patrick Flandé. Au total, c’est plus de 200 millions de dollars de marketing qui sont investis par les partenaires. De quoi créer un battage considérable autour du héros sans que cela coûte un centime aux producteurs.

Cette année Coca-Cola n’est plus dans la course mais Heineken a re-signé. Le résultat est d’une incroyable efficacité. Les films publicitaires à gros budget réalisés par la marque de bière et Sony contribuent autant à la gloire de Bond qu’à elles-mêmes. Ces films permettent à 007 de saturer les écrans publicitaires. Détail croustillant, la marque de smartphones Sony a bien failli être exclue de ce partenariat, bien que la Columbia et Sony Pictures (filiales du géant japonais) co-produisent et distribuent le film. Comme le monde entier l’a appris lorsque le système informatique de Sony a été piraté par des hackers nord-coréens en 2014, le réalisateur Sam Mendes et Daniel Craig ont tenté d’exclure la marque japonaise qui selon eux n’était pas à la hauteur du personnage, malgré les dizaines de millions de dollars proposés. Samsung a bien crû qu’il pourrait en profiter pour se glisser enfin dans l’univers de 007. Mais au final, la logique de groupe a prévalu. Et Samsung a compris l’intérêt d’être présent aussi dans l’industrie des contenus comme son rival japonais. Dans 007 Spectre, la firme Jaguar-Land Rover a aussi été sélectionnée par la production.

Gillette s’invite dans l’univers

Une autre catégorie d’annonceurs participe au battage médiatique autour de 007. Il s’agit de marques qui, sans être présentes dans le film, veulent utiliser l’univers du héros pour doper leurs ventes. Après avoir été approuvée par la famille Broccoli, elles achètent la licence. Cette année l’américain Gillette (groupe Procter & Gamble) s’est offert le droit d’exploiter l’image de l’agent secret contre des royalties sur ses ventes (estimées à 10%). Les fans n’aiment pas voir leur héros associé à des marques de grande consommation mais là aussi, c’est excellent pour toucher un public très large et encaisser de juteuses royalties.

Enfin, une dernière catégorie de partenaires très fidèles accompagne James Bond. Il s’agit de marques qui permettent au héros de conforter son statut de personnage hédoniste. Aston Martin fête plus de 50 ans de collaboration et même si la Rolls de Goldfinger (1964) apparait dans le nouveau film, elle ne peut se targuer d’une telle longévité. Côté alcools, 007 boit français et refuse d’ingurgiter le jus protéiné qu’on lui conseille amicalement pour sa santé dans ses nouvelles aventures. « Nous n’avons certainement pas les moyens de payer pour être présent dans le film, témoigne Hubert de Bouärd, le propriétaire du château Angelus à Saint-Emilion. Si nous apparaissons à l’image, c’est parce que nous avons d’anciennes et chaleureuses relations avec la famille Broccoli ». Le viticulteur reconnait qu’il expédie régulièrement des caisses de son prestigieux cru à la production mais sa participation s’arrête là et rien n’est garanti. « A chaque fois, je découvre comme tout le monde si Angelus apparait ou non ». Pour sa part, il n’interdit pas à ses revendeurs dans le monde entier d’utiliser l’affiche du film et d’expliquer le plus possible qu’il est le vin préféré de 007. Mais au total, ce très prestigieux partenariat ne coûte pas plus de 60.000 euros à sa propriété qui réalise 15 millions d’euros de chiffre d’affaires. De même, la marque de montre Omega (groupe Swatch) et le champagne Bollinger sont de vieux amis de la famille. « Nous sommes le champagne de Bond depuis 37 ans! » se félicite Jérôme Philippon, le patron de Bollinger qui profite de la sortie du film pour lancer des cuvées et bouteilles à la gloire de l’agent britannique. Il ne sait pas chiffrer les effets de cette coopération sur ses ventes mais le nombre de ses concurrents qui veulent lui prendre sa place prouve à quel point il vaut mieux être parmi les amis de 007 qu’au nombre de ses ennemis.

Voir l’article original sur NomduJournal > Voir toutes les dernieres news >

 

Mention pour Film Média au Grand Prix de la publicité et des stratégies médias 2014

Mention ex aequo : Film Media pour Peugeot France

Peugeot ecume

Pour bousculer son image de marque, Peugeot s’est fendu d’un placement produit de choix dans un blockbuster «à la française»: L’Ecume des jours, réalisé par Michel Gondry et inspiré du roman de Boris Vian. Grace à la mise en scène d’une voiture fantasmagorique, hybridant plusieurs modèles de Peugeot, la marque est parvenue à mettre en avant son potentiel créatif tout en s’associant à une œuvre culte, loin de la froideur mécanique que l’on impute souvent aux constructeurs automobiles. 

Voir l’article original sur Strategies.fr > Voir toutes les dernieres news >

Cinema : le Var ne veut pas jouer les seconds rôles

Le Var a beau offrir des décors de rêve, la concurrence est dure. Le monde de l’entreprise se mobilise pour attirer encore plus de tournages de films

C’est le ministère de la Culture qui l’affirme : pour 1 e investi localement dans le tournage d’un film, on peut espérer 7 e de retombées économiques. Parler de cinéma, ce n’est pas seulement parler d’art et d’émotions. C’est aussi évoquer l’aspect économique de la branche. Car un film, c’est comme une PME qui fonctionnerait pour une durée limitée. Et le Var, qui accueille déjà de nombreux tournages, peut encore passer à la vitesse supérieure.

En 2013, ce secteur d’activité lui a apporté 6,5 millions d’euros de retombées directes, 15 Me d’indirectes. « Le souci, c’est que désormais la concurrence est rude. Et que les splendides atouts varois ne suffisent pas. Accueillir un tournage, c’est devenu un combat. »

Alain Lavalle, producteur délégué et réalisateur, a été choisi pour animer la table ronde organisée mardi à Toulon entre les professionnels du cinéma et les acteurs économiques varois. Avec, pour ces derniers, une interrogation toute simple mais essentielle : « Comment attirer encore plus de tournage de films ? »

Des déclics

Sachant, comme l’a rappelé Alain Lavalle, « qu’il n’y a pas, ici, d’aides à la création audiovisuelle proposées par les collectivités, contrairement à d’autres régions et départements ». La seule structure existante, c’est la Commission du film du Var, mais son rôle est différent. « Pourtant, si les conseils régionaux ailleurs en France en proposent, c’est qu’ils ont bien compris que c’était une bonne affaire pour leur territoire. Sinon, en ces temps de restrictions en tout genre, ils n’investiraient pas. »On découvrira ci-dessous quelques facteurs de déclic qui peuvent attirer les producteurs vers un lieu de tournage. « Ce qui est très important aussi, c’est l’hébergement, a ainsi insisté Jean-Louis Nieuwbourg, directeur de production. Les tarifs sont-ils compétitifs ? Aurons-nous une salle de réunion à disposition ? Des parkings pour les camions ? Des machines à laver pour les costumes ? Etc. »Le genre de petits plus très concrets qui peuvent faire changer un scénario…

Voir l’article original sur varmatin.com > Voir toutes les dernieres news >

Omega et le Dernier Diamant

LA MONTRE OMEGA DE VILLE PRESTIGE SE TROUVE AU CŒUR DE L’INTRIGUE

La Cote des Montres™ le 28 avril 2014

La montre Omega De Ville Prestige, se trouve au cœur de l’intrigue dans le thriller haletant Le dernier diamant réalisé par Eric Barbier.

Au cœur de l’action pour partager une nouvelle aventure, Omega poursuit sa quête de sensations fortes au côté des deux têtes d’affiches que sont Bérénice Bejo et Yvan Attal, dans le dernier long métrage d’Éric Barbier.

Simon, un cambrioleur en liberté surveillée, accepte de monter sur le plus gros coup de sa vie : Le vol du « Florentin », un diamant mythique mis en vente aux enchères par ses propriétaires. Pour réussir, il devra approcher Julia, l’experte diamantaire, pour qui la vente constitue un enjeu personnel et familial considérable. Au-delà d’un casse particulièrement osé, Simon entrainera Julia vers un destin qu’elle n’aurait pas pu imaginer.

le-dernier-diamant

L’Omega De Ville Prestige en or jaune 18ct au poignet du personnage d’Yvan Attal marque une rupture dans l’histoire. Elle permet à Simon de révéler son nouveau visage ainsi qu’une nouvelle identité qui grâce un subtil jeu de manipulations, de charme et de séduction lui permettra de piéger Julia.

Eric Barbier : « Le Florentin, dernier diamant historique à avoir disparu : Le Dernier Diamant ! Dans une certaine mesure, le postulat du film est une uchronie (une fiction qui repose sur une réécriture de l’Histoire) :
Le Florentin, dernier diamant historique à avoir disparu, vient d’être retrouvé par Marie et Julia Neuville. Il était caché dans un lustre parmi des cristaux d’amétrine, dont la couleur est proche de celle du fameux diamant jaune. Il ressurgit et le monde des diamantaires est en effervescence, Les plus riches collectionneurs et les bijoutiers les plus célèbres s’agitent en attendant la vente ! C’est ici que les voleurs vont entrer en action. » 

Omega accompagne Simon dans sa conquête du « Dernier Diamant », et surtout dans sa conquête amoureuse… la légende de ce diamant reste encore un mystère !

Sortie du Film : 30 avril 2014

 Voir l’article original sur la cote des montres > Voir toutes les dernieres news >

Mentions légales

MENTIONS LÉGALES ET CONDITIONS D’UTILISATION

La navigation sur ce site est soumise aux présentes conditions d’utilisation. En accédant aux informations mises à disposition par FILM MEDIA CONSULTANT sur son site Internet, vous reconnaissez avoir pris connaissance des présentes conditions d’utilisation et les accepter.

ÉDITEUR
Ce site www.filmedia.fr est édité par la société FILM MEDIA CONSULTANT (RCS Paris B n° 405 366 535), Société à Responsabilité Limitée au capital de 256 000 euros, dont le siège est situé au 29 rue Guillaume Tell, 75017 Paris (Tél. : +33 (0)1 46 22 22 22), (ci-après dénommée « FILM MEDIA »). La direction de la publication du site est assurée et exploitée par la société FILM MEDIA CONSULTANT.

HÉBERGEUR
Ce site est hébergé par la société Online SAS – BP 438 75366 – PARIS CEDEX 08 / RCS PARIS B 433 115 904

LOI APPLICABLE
Le contenu de ce site est régi par la loi française.

DONNÉES PERSONNELLES
Conformément à la Loi Informatique et Libertés n° 78-17 du 6 janvier 1978, modifiée par la Loi du 6 août 2004, les données personnelles collectées dans le cadre de ce site et qui font l’objet d’un traitement informatisé sont déclarées à la Commission Nationale Informatique et Libertés. Les données ainsi collectées sont destinées exclusivement à FILM MEDIA. En application de la loi Informatique et Libertés n°78-17 du 6 janvier 1978, vous disposez d’un droit d’accès, d’opposition, de retrait et de rectification de données vous concernant.
 Vous pouvez à tout moment exercer ce droit en adressant votre demande par courrier à l’adresse suivante : FILM MEDIA CONSULTANT, 29 rue Guillaume Tell, 75017 Paris, ou envoyer un courrier électronique à : contact@filmedia.fr

COOKIES
Des données non personnelles sont collectées lors de votre navigation, par un système de cookies, à des fins statistiques. Ces fichiers stockés sur votre ordinateur permettent à FILM MEDIA d’enregistrer les informations relatives à votre navigation sur ce site (pages consultées, date et l’heure de consultation,…).
En aucun cas ces données ne nous permettent de vous identifier, elles ont pour seul but de nous aider à vous offrir un accès facilité aux services proposés et à améliorer ce site. Vous pouvez vous opposer à l’enregistrement de cookies en configurant votre navigateur selon les modalités détaillées sur le site de la Commission Nationale Informatique et Libertés (www.cnil.fr).

CONTENU DU SITE
FILM MEDIA se réserve le droit de modifier, mettre à jour, corriger ou supprimer tout ou partie du contenu du site ainsi que des présentes conditions d’utilisation à tout moment et sans préavis. FILM MEDIA ne peut garantir l’exactitude, la précision, l’actualisation ou l’exhaustivité des informations mises à disposition sur ce site.
 En conséquence, FILM MEDIA décline toute responsabilité pour les éventuelles imprécisions, inexactitudes ou omissions portant sur des informations disponibles sur ce site.

PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE
Toute représentation ou reproduction, même partielle, qui pourrait être faite du site ou des éléments le composant sans le consentement préalable et écrit de FILM MEDIA et des propriétaires du contenu, est illicite et susceptible de constituer un acte de contrefaçon engageant les responsabilités civile et pénale du contrefacteur.

MARQUES
Les dénominations, marques et signes distinctifs reproduits sur ce site sont protégés au titre du droit des marques.
 Conformément à la législation française et internationale sur la propriété intellectuelle, toute reproduction et/ou utilisation en tout ou partie d’un des signes précités est strictement interdite, sauf autorisation écrite préalable de leur titulaire.

LIENS HYPERTEXTES
Les liens hypertextes mis en place dans le cadre du présent site Internet en direction d’autres sites présents sur le réseau Internet, ne sauraient engager la responsabilité de FILM MEDIA en ce qui concerne leur contenu ou les liens qu’ils contiennent, ainsi que leurs conditions d’exploitation (notamment gestion des données personnelles,…). Vous avez la possibilité d’établir des liens hypertextes simples vers ce site sans accord préalable de FILM MEDIA.
 Tout lien hypertexte profond, ou utilisant la technique du « framing » (affichage d’une page dans un cadre au sein d’un autre site), est interdit.

EXONÉRATION DE LA RESPONSABILITÉ TECHNIQUE
FILM MEDIA s’engage à faire ses meilleurs efforts pour que ce site soit accessible à tout moment. Néanmoins, FILM MEDIA décline toute responsabilité en cas de difficulté d’accès à ce site ou d’interruptions dans la connexion, quelles qu’en soient les causes. Notamment, FILM MEDIA se réserve le droit de procéder à toute modification du site qu’il jugera utile, et cela sans avertissement préalable et même si l’accès au site en est conséquemment interrompu.
 De plus, FILM MEDIA ne saurait être tenue responsable des éventuels dommages directs ou indirects, y compris l’inaccessibilité au site, les pertes de données, détériorations, destructions ou virus qui pourraient affecter votre équipement informatique, et/ou de la présence de virus sur son site. Il appartient aux internautes de prendre toutes les mesures appropriées pour la protection de leur matériel, données ou logiciels informatiques notamment contre les virus informatiques. 
Vous reconnaissez avoir vérifié que la configuration informatique utilisée ne contient aucun virus et est en parfait état de fonctionnement.

DIVERS
Si vous constatez d’éventuelles omissions ou erreurs sur notre site, merci de nous en faire part en nous adressant un courriel à l’adresse suivante : contact@filmedia.fr

© Film Media Consultant 2014 – Tous droits réservés

« Henri », le nouveau film de Yolande Moreau va vous émouvoir et vous faire rire

France 3 Nord Pas-de-Calais web – Publié le 16/11/2013 | 11:47

« Henri », le nouveau film de Yolande Moreau tourné dans le Nord Pas-de-Calais a été présenté ce vendredi en avant-première au festival du film d’Arras. Un film coup de cœur à découvrir à partir du 4 décembre en salles.

Miss Ming et Yolande Moreau dans "Henri". © Arnaud Borrel
© Arnaud Borrel Miss Ming et Yolande Moreau dans « Henri ».

« Henri », c’est la rencontre des deux personnes à la marge, un peu décalés. Henri (Pippo Delbono) est un cafetier belge d’origine italienne devenu brutalement veuf. Ancien coureur cycliste et colombophile passionné, le quinquagénaire s’attache à Rosette (Candy Ming), une jeune fille légèrement handicapée mentale qui l’aide au café depuis son veuvage.

Dans « Henri », on est touché par des personnages humbles et forts, des gens modestes. Le grand public avait découvert Yolande Moreau dans la troupe des Deschiens. On n’en pas si loin. Dans « Henri », elle peint les personnages avec tendresse et humour. C’est son deuxième film après « Quand la mer monte ».

Les pensionnaires de l’institution de personnes handicapées mentales sont interprétés par les comédiens de la Compagnie de l’Oiseau-Mouche, un Centre d’Aide par le Travail artistique situé à Roubaix et dont les membres ont déjà interprété nombre de pièces de théâtre et de films. Ils ont beaucoup apprécié ce tournage.

23 comédiens de la compagnie de l’Oiseau mouche ont participé à l’aventure de Henri. Un film avec Jacky Berroyer, Miss Ming et Pippo Delbono, présenté au dernier festival de Cannes,  et tourné dans le Nord Pas-de-Calais notamment sur le littoral, à Pont à Vendin, Liévin et en Belgique. Sortie en salles d’Henri le 4 décembre 2013. Il a été présenté ce vendredi au festival du film d’Arras. Yolande Moreau était l’invité du journal de France 3 Nord Pas-de-Calais à cette occasion.

« Henri », le synopsis

Henri, la cinquantaine, d’origine italienne, tient avec sa femme Rita un petit restaurant près de Charleroi, « La Cantina ». Une fois les clients partis, Henri retrouve ses copains, Bibi et René, des piliers de comptoirs ; ensemble ils tuent le temps devant quelques bières en partageant leur passion commune, les pigeons voyageurs.
Rita meurt subitement, laissant Henri désemparé. Leur fille Laetitia propose alors à Henri de se faire aider au restaurant par un « papillon blanc », comme on appelle les résidents d’un foyer d’handicapés mentaux proche de « La Cantina ». Rosette est de ceux-là.
Elle est joyeuse, bienveillante et ne voit pas le mal. Son handicap est léger, elle est simplement un peu « décalée ». Elle rêve d’amour, de sexualité et de normalité. Avec l’arrivée de Rosette, une nouvelle vie s’organise.

Voir l’article original sur France3NordPasDeCalais > Voir toutes les dernieres news >

Festival du film de Sarlat : « L’épreuve d’une vie » et Guillaume Gallienne plébiscités

Le deuxième long-métrage de Nils Tavernier a reçu la Salamandre d’Or (Prix du Public), ce samedi soir, à Sarlat, tandis le Prix des Lycéens est revenu à « Les garçons et Gullaume, à table ! » de Guillaume Gallienne

Nils Tavernier, ici avec l’acteur Fabien Héraud et le producteur Philippe Boeffard (Bernard Chubilleau)

Le palmarès de la 22e édition du Festival du film de Sarlat est tombé. La Salamandre d’or, désignée par le vote du public, est revenue à « L’épreuve d’une vie », de Nils Tavernier. Le Prix des Lycéens a été décroché par « Les garçons et Guillaume , à table ! », de Guillaume Gallienne. Concernant le Prix du Jury Jeunes, c’est « Casse-Tête Chinois » de Cédric Klapisch qui a été sacré.

Du côté des récompenses individuelles, le Prix d’interprétation féminine est revenu à Karin Viard dans « Lulu, femme nue » et son pendant masculin à Guillaume Gallienne qui joue à la fois son rôle et celui de sa mère dans son œuvre autobiographique.

Voir l’article original sur SudOuest > Voir toutes les dernieres news >

« LA VÉNUS À LA FOURRURE »: MASO VOCE

Le 13 novembre 2013 Par ALAIN SPIRA – Paris Match

"La Vénus à la fourrure": Maso Voce

Du cinéma sur une scène de théâtre, c’est le défi relevé par Polanski avec ce huis clos grinçant et mordant. 
On ne joue pas au chat et à la souris avec une tigresse…

Dans un vieux théâtre posé comme une bonbonnière rococo oubliée sur un boulevard pluvieux, un metteur en scène (Mathieu Amalric), déprimé par la piètre qualité des comédiennes qu’il a auditionnées, voit débarquer une ultime candidate (Emmanuelle Seigner). Plus détrempée qu’une rescapée du Radeau de la Méduse et plus gouailleuse qu’un rappeur du 9.3, cette aspirante est, à l’évidence, aux antipodes du rôle à pourvoir. L’héroïne d’un livre du fameux Sacher-Masoch dont est adaptée la pièce est une jeune femme de la meilleure société de la fin du XIXe siècle.

Avec une tchatche qui lui ferait vendre des réfrigérateurs au pôle Nord, Vanda (qui par « hasard » porte le même nom que le personnage) finit par convaincre le metteur en scène récalcitrant de lui donner sa chance. Dès les premières répliques sorties de sa jolie bouche fardée, un étrange coup de théâtre se produit. Terminée la diction de pétasse made in téléréalité, la gavroche de banlieue s’est métamorphosée en une créature sophistiquée. Magie du théâtre ou sorcellerie ?

REDOUTABLE MÉTÉORITE CINÉMATOGRAPHIQUE

Redoutable météorite cinématographique, cette comédie au cynisme érudit explose à l’écran en une pluie acide de pure intelligence. Rafraîchissant ! Après « Carnage » adapté d’une pièce de Yasmina Reza, Roman Polanski réussit, une fois de plus, le tour de force de mettre en scène un huis clos sans tomber dans le théâtre filmé. De plus, pour chorégraphier cet explosif pas de deux, le meneur du « Bal des vampires » a retrouvé sa malice si savoureusement malsaine.

Et, en bon masochiste lui-même, le brave Roman n’oublie pas de botter sadiquement les fesses de l’image sacrée du metteur en scène tout-puissant. Surprenante, étonnante, détonante, étourdissante, imprévisible et sexy en diable, cette diablesse d’Emmanuelle Seigner, sous le fouet de son mari, bondit comme une tigresse sur la plus haute marche de son talent – elle aurait d’ailleurs mérité un prix cannois. En face, jouant à l’(im)perfection la maturité juvénile de l’intello shooté à la névrose, Mathieu Amalric interprète en virtuose les notes émotionnelles d’une partition subtile où il est autant question de « jeu » que de « je ». Cette « Vénus à la fourrure » mérite d’être applaudie à s’en faire mal. C’est les masos qui vont être contents…

Voir l’article original sur ParisMatch > Voir toutes les dernieres news >

Le rideau se lève sur le 21ème French Film Festival

07/11/2013 – 30 premières britanniques de films français sont au programme jusqu’au 7 décembre dans neuf villes

Le rideau se lève sur le 21ème French Film Festival

Attila Marcel de Sylvain Chomet

Démarrage aujourd’hui au Royaume-Uni de la 21ème édition du French Film Festival avec les projections de gala de Attila Marcel [+] (article) de Sylvain Chomet (au Cine Lumiere de Londres) et de Henri [+] de Yolande Moreau (au Filmhouse d’Edimbourg), en présence des deux cinéastes. Au menu de la manifestation qui se déroulera jusqu’au 7 décembre dans neuf villes (également à Glasgow, Warwick, Dundee, Inverness, Bo’ness, Arberdeen et Kirkaldy) figurent plus de 30 premières britanniques et des hommages à Maurice Pialat, Bernadette Lafont et Louis de Funès.

(L’article continue plus bas – Inf. publicitaire)
Au menu des avant-premières pointent Casse-tête chinois (Chinese Puzzle) de Cédric Klapisch, le compétiteur berlinois Camille Claudel 1915 [+] de Bruno Dumont, le compétiteur cannois Jeune et jolie [+] de François Ozon, Marius [+] et Fanny [+] de Daniel Auteuil (qui fera le déplacement), Amour et turbulences d’Alexandre Castagnetti et le documentaire Traviata et nous de Philippe Béziat.

Au programme Discovery ont été sélectionnés entre autres Tonnerre [+] de Guillaume Brac (découvert en compétition à Locarno), le compétiteur berlinois Elle s’en va [+] d’Emmanuelle Bercot, 11.6 [+] de Philippe Godeau (en compétition à Karlovy Vary – voir l’interview vidéo du réalisateur), Du vent dans mes mollets [+] de Carine Tardieu, Jeunesse [+] de Justine Malle et deux révélations de la dernière Quinzaine des réalisateurs cannoise : Apaches [+] de Thierry de Peretti et Les garçons et Guillaume, à table ! [+] de Guillaume Gallienne.

Dans la section Panorama Horizons se distinguent Une autre vie [+] d’Emmanuel Mouret, Jappeloup [+] de Christian Duguay, Paulette [+] de Jérôme Enrico, Le fils de l’autre [+] de Lorraine Levy, Aujourd’hui [+] d’Alain Gomis, L’homme qui rit [+] de Jean-Pierre Améris (en présence du réalisateur), Une Estonienne à Paris [+] d’Imar Raag, Millefeuille [+] de Nouri Bouzid et Le Capital [+] de Costa Gavras. A signaler également Comme un lion [+] de Samuel Collardey, le film d’animation Le jour des corneilles [+] de Jean-Christophe Dessaint et le documentaire La Maison de la Radio de Nicolas Philibert.

Fabien Lemercier

Voir l’article original sur Cineuropa > Voir toutes les dernieres news >